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Présentation de Bande Déssinée et Manga

Présentation de l'activité : 

En début de séance, un sujet, comprenant un thème ou un dialogue, est donné avec parfois une contrainte technique (nombre de cases, type de plans, etc.). Au début de l’année, il s’agit de sujets courts avec des demandes très spécifiques qui peuvent être réalisés en une ou deux séances. Au fur et à mesure, les sujets deviennent plus ouverts et les élèves sont encouragés à développer des projets plus personnels.
Pendant la séance, les planches sont commentées individuellement pour permettre des réajustements avant l’étape finale de l’encrage. Pour éviter les oublis, généralement, les planches en cours d’élaboration sont ramassées et redistribuées la semaine suivantes.
Les images des travaux sont régulièrement postées sur l’instagram de l’atelier (@atelier_pouet). Cela permet à chacun (et aussi aux parents !) de voir tout ce qui a été produit sur le même thème, dans l'atelier mais aussi dans les autres groupes.

Faire des bandes dessinées implique à la fois de dessiner et de raconter des histoires.
C’est donc une pratique artistique assez complète.

Pour la partie graphique, la bande dessinée s’appuie sur une expression figurative, lisible et expressive. Pour cela, le travail de l’atelier met surtout l’accent sur :
– un dessin au trait en noir et blanc (crayon, stylo feutre, marqueur).
– la représentation des personnages (anatomie simple, expressions faciales, actions et mouvements, etc…).
– la représentation de l’espace (plans, perspective, cadrage).

Pour la narration, les élèves commencent tout de suite à structurer et rythmer un récit :
– découpage et séquençage (BD en 1 case, strips de 3 ou 4 cases, planche unique, plusieurs pages).
– écriture de dialogues.
Au début il s’agit de représenter des scénettes courtes, pour arriver progressivement à des histoires plus complexes. Des exercices ludiques permettant d’explorer le scenario sont mis en place durant les séances, particulièrement en début d’année, pour que chacun se familiarise avec les mécanismes propres à la BD (rapport texte/images, ellipses, cadrage…).

 

Le but est que chaque élève puisse :


– représenter des personnages reconnaissables d’une case à l’autres et distincts les uns des autres quand il y en a plusieurs.
– que ces personnages réalisent des actions ou expriment des émotions repérables et identifiables par un lecteur extérieur.
– que le contexte où se passe l’histoire soit défini (décor, arrière-plan).
– que l’histoire se déroule de manière fluide et claire.

Enfin, l’atelier est un endroit convivial, où l’on peut échanger sur ses lectures, les histoires en cours, ses personnages, ses décors… C’est aussi là que chaque jeune auteur peut trouver ses premiers lecteurs, partageant la même passion et la même expérience créative !

Le but de l’atelier est bien évidemment de faire de la BD (ou du manga comme on dit en japonais) et donc de raconter des histoires en images !


Les élèves sont amenés à développer leurs capacités narratives et graphiques. D’abord en expérimentant l’exploration de scenario, par le biais d’exercices leur permettant de se familiariser avec les mécanismes propres à la BD (rapport texte/images, ellipses, plan…). Puis au fur et à mesure qu’ils prennent de l’assurance, en élaborant des récits plus longs et personnels.


En BD, les dessins doivent servir le récit et donc être « lus » au même titre que le texte. Le travail graphique durant les séances est axé sur une certaine justesse de représentation des personnages et des décors mais surtout sur leur expressivité.


Enfin, l’atelier est un endroit convivial, où l’on peut échanger sur ses lectures, les histoires en cours, ses personnages, ses décors... C’est aussi là que chaque jeune auteur peut trouver ses premiers lecteurs, partageant la même passion et la même expérience créative !

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